Dr. Holi Rajery - Linkedin
Le Fonds pour les soins palliatifs est un acteur majeur dans le domaine des soins palliatifs et de la fin de vie. Travaillant avec plusieurs partenaires, il a su valoriser les compétences de nombreux acteurs engagés dans le domaine, stimuler les innovations et soutenir de nombreux projets.
La mission principale du Fonds pour les soins palliatifs est le soutien au développement des soins palliatifs et à l’amélioration de la qualité de vie des personnes malades et de leurs familles. Pour atteindre cet objectif, il mène différentes actions et apporte son appui et son accompagnement aux projets innovants lorsqu’ ils entrent dans le cadre de leurs programmes. On a notamment l’information du grand public et des professionnels de santé, les travaux de recherche, les approches non médicamenteuses et le développement de services numériques.
Ces projets sont réalisés au niveau des hôpitaux, des établissements médico-sociaux, des associations ou encore des réseaux de soins palliatifs. Leur sélection se base sur trois principes fondamentaux, dont l’innovation, la déclinaison possible à plus grande échelle ainsi que le développement et les résultats suivis par le Fonds pour les soins palliatifs.
Jouant un rôle d’intermédiaire entre les porteurs de projets et les partenaires, il est devenu un personnage majeur dans l’accès aux soins palliatifs, à la fois accélérateur et facilitateur. Il montre le parfait exemple de la solidarité et de l’entraide.
Le Fonds pour les soins palliatifs travaille avec un très grand nombre de partenaires, dont des entreprises, des fondations, des fonds de dotation dans de secteurs différents et des donateurs particuliers. En tant que seul responsable des dons, il est tenu d’assurer le suivi des projets et doit garantir leur bonne utilisation en réalisant des bilans complets, techniques et financiers de façon régulière. Cela lui a permis de développer des partenariats durables.
Le Fonds pour les soins palliatifs a joué un rôle important dans la sensibilisation et l’information en matière de soins palliatifs et d’accompagnement de la fin de vie dans le pays. Une nette amélioration de la communication a été notée, malgré que le sujet soit difficile à aborder.