Le proche d’une personne en fin de vie, c’est-à-dire en phase avancée ou terminale d’une maladie grave et incurable, peut bénéficier d’un congé de solidarité familiale. Le patient peut être l’ascendant du salarié, son descendant, son frère, sa sœur, une personne de confiance ou quelqu’un avec qui il partage le même domicile.
Les statistiques parlent d’elles même. En 2010, plus des trois quarts des Français expriment le souhait de passer leur fin de vie chez eux d’après une enquête IFOP. Mais au final, 26% seulement le font. Cette proportion avoisine les 24% aux États-Unis. Elle reste faible en Norvège et au Royaume-Uni avec des proportions respectives de 18% et de ...